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Comment financer nos parcours ?
SYNARGIES est certifié QUALIOPI pour les actions de formation. En plus de ce dispositif accessible à toutes les entreprises quelles que soit leur taille, les OPCO mettent à disposition des financements pour l’accompagnement aux transformations dans un cadre de RSE ou de transformations régénératives. Il existe des financements européens pour les transformations. SYNARGIES peut vous accompagner pour identifier le financement disponible le plus adapté.
D’où vient le nom « SYNARGIES » ?
Le nom répond à une conviction personnelle de Nathalie STEINBERG, les synergies sont propres à l’humanité et au vivant. Sans synergies, pas de vie ! Le « A » qui remplace de le « E » invite à l’action sans quoi aucune évolution ou transformation ne peut s’opérer. Le « S » initial et final renvoie au coaching par l’effet miroir du coach qui aide à prendre conscience des forces, limites et ainsi active la capacité à trouver en soi les ressources pour évoluer et s’adapter.
Quelle est la différence entre SYNARGIES V1 et SYNARGIES V2
Synargies a été créée en 2011 dans un contexte économique très différent. L’expérience de sa fondatrice Nathalie STEINBERG, ses formations et ses rencontres l’ont conduite en 2020 à vouloir formaliser sa manière d’accompagner les transformations. Avec Eric MELLET, elle a formalisé le nom de SWITTCH™. Le nom et les lettres qui le composent ont été déposés et protégés et sont la propriété de Nathalie STEINBERG et Eric MELLET. Forte de ce travail et sensible au contexte environnemental et sociétal, Nathalie STEINBERG souhaite mettre de la cohérence entre la promesse de SYNARGIES, SWITTCH™ et le statut juridique. Elle décide en 2022 de devenir entreprise à Raison d’être. Ce pas vers un engagement plus sociétal la conduit à rencontrer Tanguy MATHON un entrepreneur et accompagnateur d’acteurs de la transition énergétique. Ensemble, ils définissent le nouveau projet de SYNARGIES tourné vers l’impact et la robustesse et inspiré des 7 lettres qui fondent les valeurs et les principes de SWITTCH™. Plus qu’un cabinet de coaching, SYNARGIES est devenue un écosystème à impact maniant la coopération, l’inspiration, la cross-fertilisation et les transformations perpétuelles comme réponses nécessaires à un monde fluctuant et imprévisible.
Qu’est-ce que SWITTCH™
ce n’est pas une méthode, c’est à la fois un état d’esprit, des convictions, une façon d’être ensemble dans l’entreprise et l’intégration de plusieurs théories et courants qui invitent les personnes, les équipes et les organisations à construire et donner du sens à toute vision, stratégie et action, mettre l’humain et les relations qu’il tisse au centre de la réussite en y déployant tout ce qui caractérise une relation humaine saine et vivante : la confiance, le temps et les forces.
Quels sont les outils | processus de diagnostic à disposition ?

Nos outils de diagnostic répondent à notre conviction que les trois intelligences stratégiques, sociales et émotionnelles, fonctionnent en interdépendance et doivent être accompagnées de manière simultanée.

Le dashboard d’Impact France va vous permettre de mesurer l’état d’avancement de votre stratégie ESG (environnement, société, gouvernance) vers l’impact.

Le Team Profile© est un questionnaire en ligne destiné à évaluer le niveau d’alignement de l’équipe dirigeante quant à la qualité et l’efficacité de son cadre de fonctionnement, de la manière d’être relation au sein de l’équipe et des relations qu’elle tisse avec son environnement pour mettre en œuvre les décisions prises au sein de l’équipe et sans cesse adapter la stratégie.

Le Coopérate©, est une enquête en ligne visant à faire prendre conscience aux membres d’une équipe dirigeante de la qualité et de l’efficacité de ses interactions avec son environnement.

Le PFPI est un inventaire de personnalité au travail conçu par Pearson Talent selon le modèle des big 5. Il révèle la perception que la personne à d’elle-même quand sa façon d’interagir, de s’adapter, d’influencer, de gérer la pression et d’organiser son travail.

L’appréciative inquiry : l’Appreciative Inquiry marque une rupture avec l’approche traditionnelle par la résolution de problèmes pour centrer l’attention et faire reposer le changement sur les réussites, les acquis et les énergies positives de l’entreprise, ceci selon une méthodologie précise. Les applications de l’Exploration Appréciative sont nombreuses ; elles vont du diagnostic social ou organisationnel, à la cohésion d’équipe jusqu’à l’innovation pour une meilleure organisation. voir la vidéo

Qu’est-ce que la « robustesse » ?

Ce concept a été formalisé par Olivier Hamant, directeur de recherche à l’INRAE dans le laboratoire de reproduction et développement des plantes au sein de l’ENS de Lyon. En écho à ses recherches biologiques et à l’Anthropocène, il participe à plusieurs projets impliquant les sciences humaines et les arts, notamment autour des questions de complexité, résilience et fragilité des systèmes biologiques.

Olivier Hamant interroge l’expérience d’un défaut de performance ?

Cette question en apparence simple, nous permet de comprendre que tout est soumis à l’injonction de performance, tout est optimisé. Qu’il s’agisse de nos villes, nos campagnes, mais aussi notre travail, nos organisations, notre vie personnelle… Nos choix, nos décisions et nos convictions sont guidés par l’idée d’une performance nécessairement positive. Il formule 4 critiques de la performance :

  1. Optimiser fragilise : la quête de performance crée une époque de performance et fragilise les systèmes en les rendant trop rigides et étroits.
  2. Les effets rebonds : la notion d’effets rebonds est directement associée à la performance. Elle peut être définie comme « l’augmentation de consommation liée à la réduction des limites à l’utilisation d’une technologie, ces limites pouvant être monétaires, temporelles, sociales, physiques, liées à l’effort, au danger, à l’organisation…»3. En effet, les gains d’efficience permettent des économies à court terme, mais l’attractivité qui en découle induit la prolifération des usages, créé de nouveaux besoins et, finalement, conduit à une consommation globale plus importante de ressources
  3. La loi de Goodhart indique que « lorsqu'une mesure devient un objectif, elle cesse d'être une bonne mesure ». Cela signifie que les indicateurs de performance peuvent être toxiques et cessent d’être fiables lorsque la performance vise à s’autojustifier.
  4. Le coût environnemental de la performance : notre performance à un coût payé par les écosystèmes. Olivier Hamant nous rappelle dans Antidote au culte de la performance, le coût de la performance sur notre milieu « nos gains de performance ont un coût caché. Et la dette accumulée, longtemps restée invisible, se manifeste désormais au grand jour dans les écosystèmes. Notre performance alimente une guerre contre la nature. Nous avons optimisé notre environnement pour le mettre au service de nos demandes, et non de nos besoins. En retour, nous contractons une dette envers notre milieu. Aujourd’hui, les pénuries s’étendent des ressources non-renouvelables aux ressources renouvelables, le bois ou l’eau par exemple. »
  5. La performance n’est, par essence, pas durable. Elle forge la nécessité d’aller vers la robustesse, pour vivre dans un monde instable et en proie aux fluctuations. La question primordiale devient donc : comment habiter un monde fluctuant ?
Que veut dire régénératif ?

Cela signifie que l’entreprise va faire évoluer son modèle économique pour avancer vers une empreinte écologique positive.

Selon l’ENS à Lyon l’Empreinte écologique est un indicateur qui évalue la surface terrestre et maritime nécessaire à une population donnée pour répondre à ses besoins et pour absorber ses déchets. Elle s’exprime en hectares par habitant.

Contrairement au modèle extractif, qui ne se soucie pas de l’impact de ses activités sur les systèmes naturels, exploités de manière intensive et sans prise en compte de leur pérennité – et donc des activités même qui en découlent, le modèle régénératif vise un “résultat net positif” en matière d’impact sur la nature. Pour y parvenir, l’entreprise doit faire évoluer ses réflexes de concurrence vers des relations de coopération territoriale. La notion de coopération est intégrée dans SWITTCH™ comme un modèle essentiel du « travailler ensemble ».

Doit-on impérativement considérer les limites planétaires ?

Les limites planétaires sont les seuils que l’humanité ne devrait pas dépasser pour ne pas compromettre les conditions favorables dans lesquelles elle a pu se développer et pour pouvoir durablement vivre dans un écosystème sûr. Il existe 9 limites planétaires :

  1. Le réchauffement climatique,
  2. La biodiversité,
  3. L’équilibre chimique des sols,
  4. L’occupation des sols,
  5. La pollution,
  6. L’utilisation de l’eau douce,
  7. La diminution de la couche d’ozone,
  8. L’acidification des océans,
  9. La concentration des aérosols dans l’atmosphère.

Il appartient à chaque dirigeant de considérer sa part de responsabilité dans sa manière de développer et gérer son entreprise. Nous partons du principe qu’il existe en chacun de nous une part en capacité de considérer ces enjeux et une part en incapacité de le faire sans y être contrainte par son environnement proche et sa capacité de survie. Nous observons et respectons la notion de maturité individuelle et collective comme facteur clé de réussite d’un engagement dans nos parcours régénératifs.